Contexte
Selon le principe ALARA, l’exposition des personnes aux rayonnements ionisants doit être maintenue au niveau le plus faible qu’il est raisonnablement possible d’atteindre, principalement pour protéger la santé publique.
L’exposition au gaz radon, par exemple, peut représenter un risque sérieux dans le cas où il serait ingéré en buvant de l’eau ou en mangeant de la nourriture. Plusieurs études, et notamment le Risk Assessment of Radon in Drinking Water report publié par l’Académie Nationale des Sciences pour l’Agence de Protection Environnementale des Etats-Unis, ont démontré que l’ingestion de radon représentait un facteur risque pour de nombreux types de cancer. Boire de l’eau contaminée peut conduire – entre autres – à un cancer de l’estomac tandis que le cancer du poumon peut être lié à l’inhalation du radon et de sous-produits radioactifs presents dans l’air ambiant.
Pour répondre à cette problématique, Bertin, une société du groupe CNIM – a développé le Radon Exchange Module 1 (REM 1) pour réaliser la mesure continue de la concentration du radon dans l’eau et prévenir le dépassement de la valeur limite, dangereuse pour la santé.
